depend il de nous d être heureux
I Non, le bonheur ne dépend pas de nous Notre bonheur repose sur une part de chance que nous ne maîtrisons pas. En effet l’étymologie même du mot bonheur est « bonum
Ensecond lieu nous verrons qu’il est cependant impossible d’être heureux sans l’acte de pensée. En effet, l’homme est un être conscient, il ne peut donc s’empêcher de penser. De plus l’avenir dépend de nos actions présentes, or pas d’action réussi sans pensée, sans calcul des moyens pour la fin.
Pourla plupart des gens, il faudra de la volonté et un peu d’entraînement. Changer une perspective, une vision du monde n’est pas facile. Mais il faut persévérer. Comprendre que le bonheur va au-delà de l’avoir/être, la prochaine étape serait de réaliser quand vous êtes heureux, quelles sont les choses qui éveillent le vrai
Cequi ne dépend pas de nous est l'objet du désir (les choses extérieures). Et Epictète de conclure : il vaut mieux supprimer les désirs car en faisant comme si on pouvait contrôler ce qui ne dépend pas de nous, on devient malheureux. Les troubles ne viennent donc pas des choses mais des jugements sur les choses. Or, le jugement, tout
Le bonheur d’une personne dépend plus de la qualité de ses relations avec les autres que de son travail, de ses revenus, de son environnement ou même de sa santé », affirme le livre La psychologie sociale (angl.). Autrement dit, pour être vraiment heureux, les humains ont besoin de donner et de recevoir de l’amour. « Si [je n’ai] pas l’amour, je ne
Site De Rencontres Sérieuses Gratuit Suisse. Comment définit-on le bonheur au travail ? Le bonheur au travail consiste à prospérer en tant qu’individus tout en travaillant avec succès en équipe. Tout dépend de ce que les gens ressentent par rapport à leur travail. L’expérience subjective qu’ont les gens de la qualité de leur vie » est une définition technique du bonheur. Le bonheur au travail fait donc référence à la façon dont les gens ressentent leur travail. Il ne s’agit pas tant de ce que les gens pensent de leur travail que de ce qu’ils en ressentent. En tant qu’êtres humains, nous rencontrons un large éventail d’émotions positives et négatives au cours de notre vie, et nous avons une capacité extraordinaire à distiller la complexité de nos sentiments en un signal clair, bon ou mauvais cette expérience est-elle bonne ou mauvaise pour moi ? C’est ce que permet de saisir une enquête sur le bonheur sur une échelle de 1 à 5. Nous recommandons aux entreprises d’utiliser le bonheur et le bien être au travail comme indicateur clé de performance pour leur personnel. En effet, se questionner sur le bonheur est un moyen statistiquement efficace d’interpréter le moral, la créativité au travail, l’épanouissement professionnel et la culture d’une équipe, d’une division ou d’une organisation. Le bonheur au travail quelle importance ? Le fait d’améliorer le bien être au travail est une action qui aura des conséquences sur différents aspects de la vie de l’entreprise. En plus de permettre une meilleure gestion du stress au travail, la prévention de burn out et de bore out et l’augmentation de la motivation au travail, prendre en considération le bonheur au travail a une importance capitale sur la gestion du personnel et les résultats de l’entreprise. Les employés qui sont heureux sont plus productifs Toute entreprise souhaite être aussi productive que possible. Des études montrent que les employés heureux sont plus productifs. Trois types d’essais distincts ont été réalisés à l’université de Warwick, où des individus choisis au hasard et rendus heureux par diverses interventions ont affiché des niveaux de productivité supérieurs d’environ 12 %. Des niveaux de bonheur moins élevés étaient également liés à une productivité moindre, ce qui a amené les chercheurs à penser qu’il existe une relation directe entre bonheur et performance. Les employés qui sont plus heureux sont plus susceptibles de rester dans une entreprise Toute entreprise qui veut réussir comprend l’importance de retenir les travailleurs à haut potentiel. Si un taux de rotation global modeste peut être bénéfique pour une entreprise, les dépenses liées à la perte de connaissances et à la nécessité d’attirer et de former du nouveau personnel peuvent rapidement s’accumuler. Alors, comment persuader le personnel de rester avec vous pendant une plus longue période ? Le bonheur et la bonne humeur au travail jouent un rôle dans ce domaine. Des études montrent que plus un employé est satisfait et heureux, moins il est susceptible de quitter son emploi. Mieux encore, ce lien se renforce avec le temps. Le bonheur au travail est un moteur puissant Les employés doivent être engagés et motivés afin de donner le meilleur d’eux-mêmes et d’éviter le désengagement au travail, le stress au travail et la perte de sens au travail. Une étude a examiné ce qui motivait les gens à consacrer leur temps et leurs efforts à la réalisation d’objectifs clés. Qu’est-ce qui leur permettait de persévérer face à l’adversité et aux obstacles ? Les résultats ont indiqué que les employés joyeux avaient des niveaux de motivation plus élevés, en partie en raison de leur perception optimiste de leur capacité à accomplir les tâches sur lesquelles ils travaillaient. Ils étaient également moins enclins à faire preuve d’agressivité au travail et de comportements nocifs comme l’absentéisme et le présentéisme. Les dirigeants qui sont heureux sont plus susceptibles d’apporter des changements positifs Nous savons tous combien le travail d’un dirigeant est important pour la réussite d’une entreprise, mais son bonheur au travail a-t-il une influence sur l’entreprise ? Oui, les recherches indiquent que c’est le cas. Plus un dirigeant est heureux, et plus il sera capable de faire preuve de management bienveillant. Cela a une influence positive sur la vie de l’entreprise car ce type de management améliore l’expérience collaborateur et diminue la souffrance au travail des employés. Le pouvoir du bonheur au travail sur les salariés Les résultats d’une nouvelle étude psychologique sont catégoriques. La résistance aux rhumes et à la grippe, une meilleure résolution des problèmes, une meilleure mémoire, une plus grande créativité et des relations plus solides peuvent toutes être apportées par le bonheur. Cependant, son utilisation dans nos professions et sur nos lieux de travail en est encore à ses débuts. Les émotions positives nous amènent à traiter l’information de manière spécifique, selon le Laboratoire d’émotions positives et de psychophysiologie de Barbara Fredrickson, rendant la présence d’un Chief Happiness Officer encore plus importante dans chaque organisation. Augmentation de l’attention Les émotions positives élargissent notre centre d’attention sur le moment, ce qui nous rend plus adaptables, plus créatifs et plus aptes à établir des liens. Les gens sont plus enclins à jouer, à explorer et à apprendre lorsqu’ils sont heureux et intéressés. Un sentiment de fierté nous encourage à rêver grand et nous pousse à réussir. Développement de la confiance Les moments de bien être au travail s’additionnent au fil du temps pour renforcer notre confiance, notre estime de soi et notre résilience. Ces outils nous aident à nous adapter à de nouvelles conditions et à de nouveaux obstacles. Ils inversent les effets des émotions négatives, diminuant le stress au travail et ses répercussions physiologiques sur notre corps. Pourquoi faut-il faire du bonheur une priorité hebdomadaire au travail ? Le bonheur n’est pas une chose à laquelle nous ne devons penser qu’une fois par an. Nous devrions y penser tous les jours et suivre le bonheur de nos employés sur une base hebdomadaire. Dans la vie, le bonheur va et vient. Nous avons tous de bons et de terribles jours au travail. La clé est d’avoir plus de bons jours de travail que de mauvais, afin que les mauvais jours ne se transforment pas en semaines, mois ou années horribles. Si les entreprises prennent au sérieux bien être au travail et performance organisationnelle, ceux-ci doivent être intégrés à chaque semaine de travail. Vous devriez en faire un suivi sur une base hebdomadaire, en demandant aux individus comment s’est déroulée leur semaine de travail, puis en faisant un rapport à l’équipe afin qu’elle puisse commencer la semaine suivante en examinant ce qui s’est bien passé et ce qui ne l’a pas fait. Cela encourage le personnel à collaborer pour s’améliorer un peu plus chaque semaine. Au fil du temps, un rythme hebdomadaire soutenu de cycles de bonheur crée des équipes plus heureuses et plus productives, ce qui est exactement l’objectif. Chaque année, le 20 mars, Journée internationale du bonheur, est une bonne occasion de rappeler à tous que le bonheur n’est pas seulement un bien humain, mais qu’en entretenant le bonheur, d’autres biens » seront également obtenus. La satisfaction des employés, par exemple, n’aide pas seulement les salariés, mais joue également un rôle essentiel dans la promotion de la créativité au travail et de la rentabilité globale de l’entreprise. Comment améliorer le bien être et le bonheur au travail Qu’est-ce qui vous rend heureux au travail ? Quel type de lieu de travail encourage les individus et les équipes à réussir ? Nous avons identifié quelques caractéristiques des lieux de travail heureux en combinant les meilleures recherches statistiques et l’expérience du monde réel. Un environnement sûr La peur n’est pas agréable. Bien sûr, certaines personnes aiment le frisson d’une bonne frayeur, mais les parcs d’attractions et les films d’horreur seraient peu attrayants s’ils étaient réellement dangereux. Sur le lieu de travail, cela signifie réduire le stress et l’anxiété. Lorsque nous sommes occupés, nous avons peu de temps pour expérimenter de nouvelles idées, et la peur de perdre notre emploi, notre poste ou notre réputation étouffe l’innovation. Un esprit de compétition Si trop de stress peut empêcher de s’amuser, trop peu aussi. Pour développer leur créativité, les salariés ont des fois besoin d’être poussés. Jouer contre un adversaire qui est bien moins compétent que nous n’apporte aucun bénéfice. C’est une grande joie de se mettre au défi d’être meilleur. Une grande motivation Donnez-leur une incitation claire à s’améliorer, quelque chose qui va au-delà de garder leur emploi. Une incitation positive motive les individus à essayer de nouvelles choses et à se développer. Mais une sanction négative en cas d’échec encourage les gens à revenir à des techniques déjà avérées. Fixez-leur peut-être l’objectif de terminer un rapport en avance et de prendre le reste de la journée en congé. Demandez-leur s’ils peuvent économiser de l’argent afin de recevoir une partie des fonds. Alignez les objectifs personnels et professionnels pour une situation gagnant-gagnant. Des ressources à disposition Il est difficile de terminer une tâche sans ressources. Les gens ont besoin de temps pour se concentrer sur le travail à accomplir, et ils peuvent également avoir besoin d’équipement ou de formation pour améliorer leurs performances. Ils doivent également être conscients des règles. Il est plus facile d’avoir des objectifs et des limites claires. Les gens doivent comprendre ce qui constitue une réussite et ce qui constitue une tricherie. Si l’objectif est de faire des économies, ne soyez pas choqué si les travailleurs diminuent la qualité de leur service – c’est une réponse facile jusqu’à ce qu’il soit explicitement indiqué que cela ne compte pas comme une victoire. Une plus grande liberté d’action Permettez-leur d’explorer maintenant que vous leur avez donné un objectif qu’ils désirent, un endroit sûr et les ressources dont ils ont besoin. La microgestion n’est pas une option ici. Les gens se prendront souvent sur une route qui ne présente aucun avantage apparent et seront incapables de décrire chaque étape de leur voyage. Vous devez les laisser explorer afin qu’ils trouvent le chemin optimal. Se tourner vers CoachHub CoachHub est la solution de coaching parfaite si vous désirez améliorer le bonheur au travail de votre organisation. Avoir un Chief Happiness Officer n’est pas toujours l’unique solution pour prendre en compte les besoins et le bien être au travail de vos salariés. CoachHub vous assiste en mettant à votre disposition ses nombreux experts et professionnels de l’amélioration de la culture d’entreprise pour créer, avec vous, un cadre de travail idéal pour vous et vos employés. Il effectue un suivi minutieux de chaque étape et avancement de son programme de coaching et joue également un rôle important dans l’engagement et la motivation au travail des employés.
5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 1512 Le bonheur, une réalité accessible à tous!Pourquoi alors lui tourner le dos ! Certaines personnes pensent qu’être heureux est une utopie et qu’il n’est pas donné à tout le monde de l’être. Selon la plupart des gens, le bonheur est éphémère, rime avec déception et finit par faire souffrir ou bien, qu’il est inné chez certains. Et s’ils se trompaient ?Beaucoup essayent d’être heureux et ne réussissent pas pour autant. Certes, essayer ne suffit pas, il faut se donner les moyens de l’être, en étant convaincu que c’est possible et en le décidant du plus profond de soi avec conviction. Se dire que c’est maintenant et pas plus tard je décide dès maintenant d’être heureux ».Naître avec une cuillère en argent dans la bouche » ne garantit pas le bonheur. L’aisance financière ne peut l’acheter, ni ne préserve de déboires, car il suffit parfois d’une tourmente pour que tout s’écroule »! Pourtant, nous sommes conditionnés à ce que l’argent nous ouvre la voie au bonheur, c’est pourquoi nous voulons toujours plus, pour satisfaire des plaisirs éphémères, c’est un leurre, car le bonheur est ailleurs!On peut tout à fait être heureux et se satisfaire de peu. Le bonheur dépend de soi, il est entre nos mains » !"Le secret du bonheur ne consiste pas à rechercher toujours plus, mais à développer la capacité s'apprécier avec moins." Dan MimanEtre heureux est un état d’esprit, cela s’apprend et se travaille !Un petit exercice peut y aider par une simple lettre, en y décrivant comment on aimerait vivre jusqu’à la fin de sa vie pour vivre une vie heureuse et comblée. Le but de la lettre est d’amener à réfléchir sur ce qui constitue l’essentiel pour soi pour vivre heureux, pour ensuite, effectuer les changements dans sa vie pour aller dans ce être heureux, il faut parfois changer sa façon d’être, de voir le monde qui nous entoure, de mettre fin à certaines de nos croyances limitantes », à des attentes…Pour s’ouvrir au bonheur, il faut surtout accepter le passé tel qu’il s’est passé inconditionnellement, il n’est pas possible autrement. Puis se mettre en mouvement!Il est difficile d’intégrer une belle image » de soi et bien se construire, lorsque l’on ne s’est pas senti accueilli dans l’amour. C’est pourquoi bien souvent ce qui a été vécu de douloureux enfant engendre du mal être, expliquant le fait que certaines personnes nourrissent du ressentiment par rapport à leur passé, mais aussi parfois envers elles-mêmes, d’où une difficulté d’acceptation de soi inconditionnelle. La non-acceptation risque de les heurter à nouveau à leurs blessures tant qu’elles ne les auront pas dépassées, mais aussi de se délaisser elles-mêmes ou mal s’ mettre fin à des situations douloureuses, il n’y a pas d’autre issue que d’accepter le passé pleinement. Cela ne veut pas dire oublier ce qui s’est passé, mais l’acceptation permet l’ commencer, il est souhaitable d’identifier les blocages qui mettent un frein au bien-être, puis agir pour les concerne le conditionnement auquel nous sommes soumis depuis l’enfance qui engendre sous-estime de soi, dévalorisation, manque de confiance en soi, pessimisme, penser ne pas mériter le bonheur, culpabilité et autopunition, ne pas se sentir digne d’amour, espérer que le bonheur arrive un jour, être trop rigide, perfectionnisme, besoin de maîtriser, de contrôler…, tout ceci représente une barrière au bien-être, il faut donc en prendre conscience et agir pour se est essentiel de se défaire du regard négatif » porté sur soi, véhiculé depuis l’ n’est pas parce que nous avons intégré une image de soi dévalorisante, que nous sommes réduits à cette image, ni même à devoir la pas d’être important aux yeux de nos proches, car cela n’arrivera peut-être jamais. Pour se délivrer de cette attente, il faut parfois faire le deuil d’une relation impossible et de se donner de l’importance soi-même, l’amour et la reconnaissance doit alors naître de soi. S’accorder la reconnaissance, permet de s’affirmer en dehors de toutes dépendances et de s’émanciper du regard de l’autre de manière à ne plus être mendiant » de l’amour !Mettons de la souplesse dans notre manière d’être!La tendance à la psychorigidité, au contrôle et à la maîtrise des proches, ne permet pas le relâchement bien au contraire, car cela demande une vigilance de chaque instant pour la satisfaire, et a pour effet de mettre en tension la personne est souhaitable de mettre de la souplesse dans sa manière d’être et d’agir. Peut être est-il bon d’en rechercher la ou les causes peurs, angoisses, besoin de se sentir important, indispensable..., car cette position de supériorité supposée », met mal à l’aise non seulement la personne elle-même, mais aussi son entourage. Cette attitude engendre parfois l’inverse de ce qui est recherché, comme le rejet ou la soumission. L’air étant irrespirable », un besoin vital de respirer peut se faire sentir! De trop serrer » son entourage, cela ne leur donne t-il pas une envie de liberté?N’est-ce pas en ouvrant la main » que l’on peut le mieux, conserver la poignée de sable saisie?De plus, tout ne peut reposer sur soi, même si cela procure une satisfaction personnelle, il est bon d’apprendre à déléguer et à faire confiance, mais surtout à accepter le fait que rien n'est jamais parfait ».Pour ne pas risquer d’être déçu, lâchons nos demandes et nos attentes !Si nous sommes dans l’attente que l’autre se conforme à ce que nous souhaitons ou si nous attendons de lui qu’il nous rende heureux, nous-nous leurrons, car il y a peu de chance que la réponse soit conforme à ce qui est souhaité. Les attentes engendrent des frustrations et soi et s’accorder le droit d’être est impossible d'aimer » dénué de toute demande », si l’on ne s’aime pas ! On peut aussi par besoin de reconnaissance, aimer l’autre et se nier soi. La peur de décevoir, de ne pas répondre aux attentes ou à l’image » que l’on attend de soi, y contribue. Il n’est pas rare que certaines personnes s’effacent, en faisant passer le désir de l’autre avant les personnes qui ont des difficultés à ressentir l’amour, ne l’ayant pas ou peu reçu et ressenti enfant, pensent peut-être que pour être aimé, il faut le mériter. Cette blessure, cache une dévalorisation qui à coup sûr, empêche d’avoir une relation avec autrui d’égale à égale ». Cette dévalorisation est le reflet de l’image que l’on se fait de soi souvent très négative ». D’où l’importance d’être indulgent avec soi-même, car le plus douloureux des jugements n’est-ce pas celui que l’on se porte ? S’aimer soi ouvre à la liberté d’aimer, sans être limité par des l'on a manqué d’amour, un bon exercice consiste à faire face au miroir et à oser se dire je t’aime » en se regardant. Pour pouvoir regarder le merveilleux qui est en soi et reconnaître sa vraie valeur, il faut dépasser ce qu’il peut renvoyer de douloureux qui n’est autre qu’un leurre. Ce que l’on perçoit de négatif de soi dans le miroir, appartient à une image » du passé qui ne correspond pas à la réalité de qui l’on est dire je t’aime », est un acte de reconnaissance et d’acceptation de nous-mêmes. En s’autorisant à s’aimer, nous pouvons connecter cet amour et le ressentir au plus profond de nous, puis il est enfin possible de le propager avec force autour de communication de soi à soi, a pour effet de reconnaître la souffrance de notre enfant intérieur, mais aussi de venir en "réparation" pour l'apaiser. Nos blessures et nos fêlures », révèlent le merveilleux qui est en fois que l’on s’est nourri » d’amour, par la reconnaissance et l’acceptation inconditionnelle de soi, on peut ensuite propager cet amour autour de soi en toute n’est pas être présomptueux que de se valoriser bien au contraire ! La dévalorisation est la conséquence d’un jugement négatif » porté sur soi. C’est pourquoi, pour restaurer une image positive » en accord avec celle qui nous correspond vraiment, il est souhaitable de s’accorder le droit d’avoir de la nous à l’imperfection !Ce demander la perfection » ou être en quête de perfection est difficile à vivre. Après avoir réalisé un chef d’œuvre, la barre est haute pour ensuite pouvoir faire mieux. Prétendre à la perfection, induit en erreur, car en réalité nous ne pouvons tendre que vers l’excellence ! Faire de son mieux et donner le meilleur de soi-même procure un bon sentiment et soulage d’un poids. Il est donc préférable de s’autoriser à être que nous avons de nous-mêmes est celle que les autres perçoivent et, par effet de miroir, son reflet nous est renvoyé. Il est donc important d’avoir un beau regard sur soi et cela inclus le fait de s’accepter tel que nous sommes avec nos forces et nos faiblesses. Oser être soi en s’affirmant au besoin, ne fait que renforcer le respect que nous avons pour soi et nous unifie davantage à nous-mêmes. Prendre notre part de responsabilité dans ce qui nous arrive et changer notre perception du monde qui nous entoure!La façon dont nous percevons et ressentons le monde, fait notre prison », car nous faisons de la réalité, une affaire personnelle et donc une affaire entretiennent des ressentiments ressenti-ment ! sur ce qui leur est renvoyé de déplaisant ou de douloureux, provenant de l’interprétation d’un fait sorti de son contexte qui est ensuite monté en épingle », puis mal interprété pour donner raison à l’ego qui n’aime pas avoir tort. Les ressentis qui y sont liés ne font que le conforter et l’ d’une situation qui comporte un grand nombre de facteurs, nous extrayons un détail qui nous touche particulièrement et les émotions qui y sont associées nous leurrent et nous aveuglent », car elles font venir sur le devant de la scène un élément, auquel nous-nous cramponnons, en faisant abstraction des autres entretenant des ressentiments, nous-nous empêchons de voir notre propre responsabilité dans ce qui nous arrive et donnons à l’ego une bonne » raison de régner en maître ». Par fierté ou par orgueil, combien de ruptures de communication s’installent entre personnes qui s’aiment, alors que si elles laissaient parler leur cœur, le lien ne pourrait être rompu. Il est donc souhaitable de mettre un mouchoir » sur l’ego, ce n’est pas se rabaisser » comme beaucoup pensent, c’est faire preuve d’intelligence. Car, en s’agrippant aux ressentiments, c’est faire soi-même obstacle à son propre bonheur. De plus, en renvoyant la responsabilité ou la faute à l’autre, cela nous empêche de percevoir nos propres vivre heureux, nous devons vivre en harmonie avec notre entourage et avoir de bonnes relations humaines. Nous avons besoin d’aimer, d’être aimé et de pouvoir nous entraider et nous soutenir dans des moments difficiles. Il n’y a rien de pire que d’être indifférent à la souffrance de l’ nos limites mentales pour balayer » tous les obstacles qui empêchent d’agir!Rien n’est impossible aussi incroyable que cela puisse paraître! Parfois notre système de pensées et de croyances nous limite, étant convaincus que telle ou telle chose est impossible à pouvons être étonnés de nous apercevoir combien nous-nous limitons, en réalisant ce que nous pensions inimaginable de faire auparavant. Il faut se conditionner à penser que c’est possible, puis décider de se surpasser en osant agir. Il est souvent nécessaire de dépasser ses peurs et ses doutes, et de se faire confiance. On peut alors prendre conscience que les limites sont celles que l’on se met soi-même. Une fois accomplie cette prouesse, imprégnons-nous de la joie que procure le fait d’avoir réussi à se dépasser. Nous pourrons alors faire appel à cet ancrage » pour pouvoir de nouveau se dépasser lors d’une situation limitante ».Le dépassement de soi est une voie royale pour la confiance en soi. Nous sommes tous capables d’exploits. Qui aurait imaginé alors, que l’homme marcherait un jour sur la lune ?En réalité la difficulté ne réside que dans le mental, notre conditionnement est une limite! Les plus grands exploits proviennent de ceux qui ont osé croire que tout est possible. En bravant un système de pensée limité, certains ont réussi à ouvrir la voie du possible. Nous sommes tous capables de marcher sur des braises sans avoir la moindre brûlure, ni même sans ressentir la moindre douleur, le croyez-vous possible ?Il suffit d’oser et d’imaginer que nous avons cette aptitude, puis de faire le premier pas, pour que d’autres suivent naturellement pour avancer. Nous sommes bien souvent englués et prisonniers de notre conditionnement. Pour sortir de son bourbier, le coq ne sait pas qu’il doit faire un pas, tout comme la mouche qui se heurte inlassablement contre la vitre, alors qu’une fenêtre est ouverte à coté! Et nous, nous suivons bêtement ce qui nous a été enseigné comme étant vérité absolue, sans jamais le mettre en nos valeurs profondes et vivre en accord avec elles !Se sont des valeurs importantes et essentielles à notre bien-être, elles participent à notre fondement. De plus elles favorisent un repère sécurisant pour la famille. Elles sont conformes au respect de soi, guident nos actes et influencent nos choix. Se sont des priorités qui peuvent concerner tous les domaines couple, famille, amis, travail, hobbies…, tout dépend des aspirations de chacun. Une fois ses valeurs profondes définies, il est souhaitable de vivre en accord avec elles, car elles sont essentielles à un bon équilibre et contribuent au valeurs, déterminent la qualité de nos relations, elles renforcent les liens lorsqu’elles sont partagées. A tout moment le l’existence, nous pouvons les réajuster en fonction de nos priorités. Elles évoluent et se transforment avec notre propre évolution. Se sont des forces que l’on peut puiser pour se donner du courage, à des moments de doute, des épreuves que l’on traverse, etc. Elles participent à notre intégrité et nous unifient à nous-mêmes!Profitons pleinement du moment présent ! Nous ne pouvons empêcher les oiseaux noirs » de voler au-dessus de nos têtes, mais nous pouvons les empêcher d’y faire leur nid »! que cela veut dire ? Lorsqu’une pensée négative » nous traverse l’esprit, accueillions-la et laissons-la passer, pour très vite revenir à la pleine conscience, à l’ici et maintenant. Au besoin, utilisons la respiration consciente pour se détendre et relâcher les tensions du corps. Elle permet aussi de faire le vide dans sa en pleine conscience, permet de relativiser et de se recentrer sur ce qui est important. Cela favorise, la guérison de bien des maux ». Avec l’aide de la pensée positive » et en écoutant ce que nous dit notre cœur, nous attirons à nous ce que nous souhaitons, répondant ainsi à des lois universelles, celles de l’intention et de la loi d’attraction!Il est important de laisser entrer la joie dans notre vie et de la partager, car elle est source de bien-être."Le vrai nom du bonheur, c'est le contentement." Henri-frédéric AmielLe bonheur est un état d’être dans lequel on se sent pleinement heureux, qui peut être résumé par le contentement qui se ressent de l’intérieur. L’énergie qui s’en dégage rejaillit vers l’extérieur pour éclabousser celles et ceux qui nous entourent. Le bonheur ne dépend de personne d’autre que de soi-même, il est donc important de ne pas attendre des autres qu’ils nous rendent heureux et peu importe ce qu’ils pensent. L’important c’est de bien vivre dans sa peau » !Le bonheur réside parfois dans le partage de choses simples, de joies, de sourires et d’émerveillements, en ayant à l’esprit le regard neuf d’un d’enfant qui découvre la vie comme étant un cadeau!Le secret du bonheur - conte africain !Un enfant demande à son père- Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?Alors le père demande à son fils de le suivre. Ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village de dire- Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur l'âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors- Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la jour suivant, ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi!- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire- Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la à la maison, le père dit à son fils- Tu me demandais l'autre jour le secret du importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à ce qu’il te plaît et tu seras inconnu
Nous avons lu, dans Le Monde daté 7 août, sous le titre Le stakhanoviste du stylo rouge », une bien belle et édifiante histoire, celle d’un correcteur de l’édition travaillant à domicile quinze heures par jour, sept jours sur sept, qualifié de stakhanoviste*, donc, et se disant heureux* ». Etait-il besoin de le préciser ? un travailleur de choc qui ne compte pas ses heures, et occupe au moins deux postes pour une rétribution horaire plus que modeste ne doit-il pas être proche de la béatitude ? Un petit bémol, cependant pour reconstituer sa force de travail, soit dormir et se nourrir, il s’accorde neuf heures ! N’est-ce pas un peu tirer sur la corde ? — * Le mot stakhanovisme vient de Stakhanov, lequel était un mineur de charbon soviétique qui améliora considérablement son rendement dans les années 1930. Ledit rendement devint la norme, et ses camarades durent s’aligner sur lui. Autant dire que ceux-ci ne l’appéciaient que modérément. La propagande a fait de lui un héros de l’émulation socialiste », et son patronyme est ensuite devenu nom commun. * Il œuvre de 9 heures du matin à minuit, samedis et dimanches compris, pour un revenu de 4 300 euros net mensuels quinze heures par jour multipliées par sept font 105 heures par semaine, 450 heures pour un mois de trente jours ; ce revenu, divisé par le nombre d’heures, représente 9,5 euros de l’heure, soit un peu plus que le taux horaire du smic 8,8 euros brut au mois de juillet 2009. Voilà un héros de l’émulation sarkozyste !
“Une personne heureuse ne l’est pas grâce à certaines circonstances, mais plutôt grâce à ses attitudes.” – Hugh Downs Vous sentez-vous heureux ? Sur une échelle de 1 à 10, pouvez-vous dire à quel point vous vivez le bonheur aujourd’hui ? Nos sociétés modernes accordent beaucoup de place à la peur, aux désirs et à la fierté. Bien que notre niveau de vie global tend à s’améliorer, les gens semblent pourtant de plus en plus malheureux. Que ce soit au travail, chez nous ou à l’extérieur, le bonheur semble presque une utopie. C’est pourquoi nous allons voir 10 principes qui vous permettront d’avancer dans votre quête du bonheur. Au programme de cet article N°1 Contemplez vos émotions/pensées négatives ; ne les réprimez pasN°2 Agissez sur ce qui vous rend malheureuxN°3 Mettez à jour votre système de croyancesN°4 Voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié videN°5 Laissez tomber vos attentes et concentrez-vous sur les intentionsN°6 Soyez reconnaissant pour ce que vous avezN°7 Focalisez-vous sur vos Idéaux plutôt que vos ProblèmesN°8 Vivez une vie pleine de sensN°9 Reconnaître le bonheur comme un choixN°10 Ne pensez pas "Et si", mais plutôt "la prochaine fois"Pour conclure N°1 Contemplez vos émotions/pensées négatives ; ne les réprimez pas Aujourd’hui, la plupart d’entre nous ne savons pas gérer nos émotions. Il suffit de voir ce que nous faisons lorsque nous sommes malheureux/en colère/stressé/effrayé. Soit a nous l’endormons b nous mangeons boulimies émotionnelles c nous buvons alcoolisme d nous fumons e nous nous mettons la tête dans le sable, en travaillant et/ou f en ignorant complètement nos émotions. Alors, que se passe-t-il lorsque nous ne gérons pas nos émotions négatives ? Et bien, en ne répondant pas à nos émotions/pensées, celles-ci deviennent alors réprimées. Nous avons alors l’impression que nos émotions/pensées négatives ont disparu le jour suivant, mais non, elles sont encore là. Elles sont juste profondément enfouies dans notre inconscient. Ce n’est après qu’une question de temps avant qu’elles n’émergent à nouveau, habituellement lorsque nous faisons face à une situation qui déclenche ces souvenirs latents. A ce moment-là, nous pouvons soit continuer à ignorer nos ressentis, et donc à répéter ce cycle à nouveau, ou bien traiter cela immédiatement cette fois-ci. Il faut maintenant choisir, continuerez-vous à ignorer les cris d’alarme de votre esprit en vous anesthésiant dans votre train-train quotidien, ou bien aurez-vous le courage de commencer à vivre votre vie en pleine conscience ? Cela ne tient qu’à vous. Comment pouvons-nous gérer nos émotions/pensées négatives ? 1. Premièrement, en déchargeant votre esprit. Surtout si l’incident vient de se produire et que vous êtes confrontés à un grand afflux d’émotions négatives. La méditation, ou bien simplement contempler d’un point de vue extérieur notre situation, est très utile à cet effet. Vous pouvez aussi utiliser ce qui vous déstresse habituellement, comme jouer un jeu, prendre une pause, marcher un peu, écouter de la musique, etc. Du moment que vous reviendrez à votre situation problématique après vous être détendu un peu. 2. Identifiez votre source de malheur, en vous demandant “Qu’est-ce qui me rend malheureux ?”. Les réponses peuvent être très révélatrices, surtout si vous ne vous êtes jamais posé la question. Cela vous poussera dans la bonne direction, parce que plutôt que de prendre vos émotions telles qu’elles sont, vous faites maintenant l’effort de les comprendre. Si vous êtes déjà très conscient de vos émotions, cela vous permettra d’aller encore plus loin. 3. Créez une liste d’étapes qui vous permettront de gérer votre source de malheur. Voyez les étapes suivantes. N°2 Agissez sur ce qui vous rend malheureux Je dirais que je suis quelqu’un de très heureux. Non pas parce que je ne ressens pas d’émotions négatives, comme tout le monde, il y a des moments où je me sens malheureux. Il y a aussi des moments où je m’énerve ou au contraire où je suis triste. Que dois-je faire durant ces moments-là ? Dois-je me laisser enfoncer dans mes émotions négatives ? Non, ce n’est pas ce que je veux. C’est inutile et cela gaspillerait juste mon énergie mentale. Si quelque chose vous ennuie, occupez-vous en dès maintenant. Ne laissez pas votre malheur grandir, car votre bonheur doit être votre priorité numéro 1 dans votre vie. Voici mes quelques astuces 1. Réglez votre problème immédiatement. Cela ne sert à rien d’attendre. Plus vous attendrez et plus vous vous sentirez malheureux. 2. Concentrez-vous sur ce que vous pouvez faire, et non sur ce que vous ne pouvez pas faire. Cela inclut a les choses dans le présent b vos pensées et actes. Donc pas de choses dans le passé ou dans le futur, ou de pensées ou actions qui concernent d’autres personnes. 3. Rappelez-vous que chaque problème a sa solution. Vous n’êtes limité que par votre esprit. Ce n’est que lorsque vous élargirez le cadre de votre réflexion que vous trouverez la solution la mieux adaptée à vous. Faites preuve de créativité. 4. Une fois que vous avez fait tout ce qui était de votre ressort, laissez les choses suivre leur cours. Vous avez fait tout ce que vous pouviez. Maintenant laissez les autres et l’univers faire leur part. N°3 Mettez à jour votre système de croyances Si un problème persiste malgré que vous avez tout fait pour le régler, ou bien si la source de malheur est irréversible par exemple, le décès d’un proche ou changer le passé ou encore quelque chose hors de votre portée comme les pensées ou actions des autres… C’est que vous avez des croyances limitantes qui vous empêchent de voir la situation sous un autre point de vue ! Il est très facile de croire que nous ne sommes pas maître de nos émotions, c’est ainsi que l’on dit “il/elle m’énerve”, “tu me rends triste”, “tu me fatigues”… C’est le signe que nous faisons fausse route, parce que nos émotions nous appartiennent. Il ne tient qu’à nous de choisir si l’on souhaite vivre de l’énervement, de la tristesse ou au contraire de la joie. Oui, c’est aussi simple que ça. Passer de la mentalité “Je n’arriverai à rien dans ma vie” à “Je peux surmonter tout ce qui m’arrive” peut produire d’énormes changements dans votre vie. Dans un cas vous vous auto-sabotez, et dans l’autre vous avez confiance en vos capacités pour trouver les solutions à vos problèmes. C’est pourquoi il est important de passer en revue nos “croyances” et d’y faire le ménage. Ne gardez que celles qui vous aident et vous permettent d’aller de l’avant. Et si quelque chose vous rend malheureux, cela ne sert à rien de le ressasser continuellement, parce que vous ne faites que rendre votre vie plus misérable. C’est justement le signal qu’il faut faire une introspection et mettre à jour votre système de croyance, ce qui vous permettra de dissoudre ces croyances limitantes pour les remplacer par des croyances aidantes. N°4 Voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide Vous avez sûrement déjà entendu le proverbe “Après la pluie, le beau temps”. Cela signifie que même si une situation vous paraît négative ou sans issue, il y aura toujours des côtés positifs à celle-ci. Par exemple, voici une liste de choses que la majorité des gens considéreraient comme négatif, surtout si cela nous arrive. Arriver en retard à un rendez-vous Procrastiner sur un projet Rater un entretien d’embauche Être licencié de son travail Rompre avec un conjoint Vivre une situation difficile financière, professionnelle, familiale… Et si je vous disais qu’il y a un côté positif à chacune de ces situations ci-dessus ? Une situation perçue comme négative -> Le côté positif de la situation. Arriver en retard à un rendez-vous -> 1 Vous savez maintenant qu’il y a des limites à respecter pour arriver à l’heure. 2 Votre retard vous a appris l’importance d’être ponctuel. Procrastiner sur un projet -> Vous êtes maintenant conscient qu’il vous faudra reconsidérer votre projet d’un autre point de vue pour retrouver votre motivation, ce qui vous rapproche déjà de votre but. Rater un entretien d’embauche -> 1 Analyser à posteriori l’entrevue vous permettra d’apprendre ce qu’il faut éviter de faire/dire pour votre prochain entretien. 2 Ce que vous avez appris de cette entrevue peut vous permettre d’obtenir un meilleur boulot à l’avenir. Être licencié de son travail -> 1 Cela vous permettra d’avoir le temps de réfléchir à ce que vous voulez faire dans votre vie. 2 Vous pouvez maintenant vous embarquer dans de nouvelles opportunités. Que ce soit de travailler pour de nouvelles entreprises, choisir d’autres rôles ou vous lancer dans une nouvelle carrière, ou encore lancer votre propre business. Rompre avec un conjoint -> 1 Être libéré d’une relation qui ne fonctionnait pas. Si votre conjoint n’était pas heureux dans cette relation, alors vous n’auriez pas pu être heureux non plus sur le long terme. 2 Vous pouvez maintenant rencontrer d’autres personnes, et très probablement trouver quelqu’un qui vous correspondra mieux que votre ex. Vivre une situation difficile -> 1 Gérer cette situation vous aidera à développer vos capacités à faire face aux imprévus. Vous gagnerez en sagesse et en force de caractère. 2 Ce que vous apprendrez vous aidera à grandir et vous améliorer en tant qu’individu, et cela bien plus que si vous n’aviez jamais vécu ce type de situation. Certains peuvent dire que je suis bien trop optimiste avec ce que j’ai écrit plus haut. Mais ce n’est pas le cas. Ce qui est écrit là sont des faits et non des fictions. Beaucoup de gens ont raté leur entretien d’embauche, pour au final obtenir les emplois dont ils rêvaient, chez une autre entreprise. Bien des gens ont rompu difficilement avec leur conjoint, pour vivre une relation épanouie avec leur nouvelle moitié. De même que je suis certain que vous avez vécu des moments difficiles dans votre vie, qui vous ont aidé à devenir qui vous êtes actuellement. Tout ce qui se produit dans nos vies, même ce qui nous déçoit, fait de nous des gens meilleurs. Une fois que vous comprenez cela, alors vous pouvez voir chaque problème comme un apprentissage qui vous permet d’aller plus loin dans votre vie. Voici quelques conseils pour voir le bon côté des choses le verre à moitié plein dans chaque situation Reconnaissez qu’il y a toujours quelque chose de positif à tirer de chaque situation “négative”. C’est à vous de trouver ce que c’est. Quelles expériences avez-vous tirées de cet incident ? Tout ce que vous avez vécu comme expériences, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, vous ont mené à cette situation. Quelles leçons avez-vous apprises ? Vous n’auriez jamais compris ces leçons si vous n’aviez pas vécu cette situation. Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort. Quelles sont les capacités ou compétences que vous avez développé grâce à cette situation ? Chaque problème arrive avec son lot d’opportunités. Quelles opportunités se présentent maintenant à vous grâce à cette situation ? N°5 Laissez tomber vos attentes et concentrez-vous sur les intentions Concentrez-vous sur vos intentions, et non pas sur vos attentes. Il est difficile d’être heureux lorsque nous avons des attentes très spécifiques de comment les choses devraient être. C’est pourquoi en se concentrant sur ce que l’on souhaite réellement, plutôt que sur le “comment” l’on voudrait que cela se manifeste, nous rend forcément plus heureux. Par exemple, vous souhaitez avoir un travail dans tel secteur avec une paye convenable. Cela a plus de chance de se produire que si vous pensez que vous devez absolument être pris par l’entreprise X, avec un salaire Y pour être heureux au travail. Il ne s’agit pas là de faire des concessions sur nos “idéaux”, mais de se rendre compte que ce qui peut nous satisfaire n’est pas forcément lié à des conditions que nous avons déterminées à l’avance. Toujours pour ce même exemple, il est possible qu’une entreprise Z vous propose un salaire plus bas, mais en vous informant un peu, vous vous rendiez compte qu’elle augmente assez souvent ses employés et que l’environnement de travail y est agréable. Comprenez que chaque objectif que nous avons dans la vie est lié à une intention que nous souhaitons voir se concrétiser, mais qu’en même temps il y a des milliers de façons de faire pour que celle-ci se manifeste. Ainsi ne restez pas coincé sur le résultat que vous imaginiez. Continuez à avoir des objectifs et poursuivez-les, tout en restant concentré sur vos intentions. Une fois ceci fait, vous réaliserez que vous pouvez progresser bien plus vite que le croyiez et que vos attentes vous ont simplement empêché de faire ce qu’il fallait pour avancer vers vos objectifs. N°6 Soyez reconnaissant pour ce que vous avez Savez-vous que peu importe où vous en êtes dans votre vie aujourd’hui, il y aura toujours des personnes qui seront dans une pire situation que la vôtre ? Et que peu importe à quel point les choses semblent désespérées, cela peut aller encore pire ? Ainsi, une personne qui se plaint d’avoir une trop petite maison devrait regarder l’homme sans abri au coin de la rue, qui n’a ni logis, ni refuge parfois même durant les périodes hivernales. Celui/celle qui se plaint d’avoir perdu son travail devrait parler à celui/celle qui a perdu un membre dans un accident. Celui ou celle qui se plaint d’avoir des parents agaçants devrait parler à un orphelin, qui n’a pas de parent à qui parler. Alors faites le point et soyez reconnaissante pour les choses que vous avez. Soyez reconnaissante de ne pas avoir à faire face à des situations pires encore. Soyez reconnaissante d’être en vie, d’avoir accès à tous vos sens. Soyez reconnaissante pour toutes ces personnes qui font partie de votre vie. Soyez reconnaissante pour l’air que vous respirez chaque jour. Soyez reconnaissante pour les problèmes que vous affrontez et qui vous permettent de devenir meilleure. Même si vous pensez que vous n’avez rien, vous vous trompez. Car vous êtes en vie. N°7 Focalisez-vous sur vos Idéaux plutôt que vos Problèmes Beaucoup d’entre nous tendons à consacrer toute notre énergie à essayer de résoudre nos problèmes quotidiens. Cette approche nous pousse à accorder de l’importance au négatif, et nous rappelle ce que nous ne voulons pas ce qui nous apporte encore plus de négativité. Bien sûr, ce n’est pas vraiment une façon efficace d’être heureux. Voici une meilleure façon de faire plutôt que de vous épuiser à passer en revue tous vos problèmes, pensez en termes d’idéaux. À l’inverse, demandez-vous “Quelle est la vision idéale de ma vie ?” C’est la question que je pose à tous ceux qui semblent bloqués dans leurs problèmes. Et cela ne manque jamais d’allumer une étincelle dans leurs yeux, à mesure qu’il ou elle me parlent de ce qu’il/elle souhaite dans sa vie Voici les 3 grands avantages de se concentrer sur les idéaux plutôt que les problèmes Premièrement, vous penserez en terme de possibilités et non en terme de limitations. Deuxièmement, cela vous aidera à clarifier ce que vous voulez, ce qui vous aidera à avancer vers votre vie idéale. Troisièmement, en pensant à votre vision idéale, vous serez dans un état mental positif, ce qui par défaut, vous aidera à affronter tous les obstacles qui peuvent se dresser sur votre route. Cela ne veut pas dire d’ignorer vos problèmes et de faire comme s’ils n’existaient pas. Cela signifie de ne pas les laisser vous enfermer, tout en restant conscient de leur existence. Ce qui veut dire… Si par exemple vous avez de lourdes dettes, ne vous focalisez pas là-dessus. Soyez conscient de votre dette mais concentrez-vous sur les opportunités pour générer de la valeur. Si vous avez un emploi que vous n’aimez pas, concentrez-vous sur la carrière idéale que vous recherchez et comment vous pouvez la réaliser. Si vous venez de perdre votre emploi, concentrez-vous sur les nouveaux emplois que vous pouvez maintenant acquérir. Si vous êtes entourés de personnes négatives, concentrez-vous sur le positif, sur les nouvelles personnes que vous allez rencontrer. Si vous êtes seule, concentrez-vous sur la relation idéale que vous voudriez avoir, ainsi que les qualités de votre futur conjointe. N°8 Vivez une vie pleine de sens Trouver un sens, une mission de vie, est essentiel pour avancer vers ses objectifs et ouvrir la voie à une vie pleine de bonheur. Avez-vous établit votre but de vie ? Si non, il est peut-être temps de le faire. Je vous recommande de lire ces deux articles, qui vous aideront à faire le point là-dessus Vivez-Vous Comme Un Somnambule ? Pourquoi Avoir Un But Dans La Vie ? Lorsque vous aurez défini votre but de vie, alors vous voudrez vous fixer des objectifs qui vous permettront de libérer votre potentiel. 6 Raisons De Vous Fixer Un But N°9 Reconnaître le bonheur comme un choix Êtes-vous coincée dans une situation qui échappe à votre contrôle ? Êtes-vous en train de laisser celle-ci affecter vos émotions ? Allez-vous laissez tout cela vous tirer vers le bas, ou au contraire allez-vous sourire et transformer vos problèmes en opportunités ? Vous pouvez soit vous lamenter sur votre sort, soit faire avec les cartes que le destin vous a remise. Vous pouvez faire de votre situation une souffrance, ou au contraire une force et une énergie qui vous poussera vers l’avant. Si vous décidez d’aller de l’avant, de tourner le dos à votre malheur et à changer vos problèmes en opportunités alors rien ne pourra vous enlever votre bonheur. Parce que votre bonheur est un choix, le vôtre. Et rien ne devrait pouvoir le dérober. Il ne tient qu’à vous de faire le choix d’être la personne la plus heureuse au monde, plutôt que d’être malheureux et misérable. Bien des personnes nous le prouvent chaque jour, en transformant leur handicap en marque de fabrique, en surmontant des situations qui nous semblent impossibles alors qu’ils traînent des fardeaux plus lourds que les nôtres. N’oubliez jamais Vous avez toujours le Choix. N°10 Ne pensez pas “Et si”, mais plutôt “la prochaine fois” Vous n’imaginez pas combien de gens disent “et si” chaque fois que quelque chose ne va dans comme ils le voudraient “Et si j’avais fait cela à la place ?” “Et si ceci, et si cela…” C’est votre cas aussi ? Et bien, on s’en fiche. Je veux dire, en quoi cela a-t-il de l’importance ? Vous connaissez le proverbe “avec des si, on mettrait Paris en bouteille” ? Et bien c’est exactement le cas. Bien qu’il est facile d’imaginer des tas de scénarios différents où votre problème n’existerait pas, cela ne changera pas pour autant la réalité. Toutefois, il serait plus aidant de se dire “Que pourrais-je faire la prochaine fois, pour que cette situation ne se reproduise pas ?” Cela vous aidera à tirer une leçon de cette situation, et ainsi la prochaine fois, les choses se passeront différemment. Que ce soit d’empêcher le même problème de se reproduire ou bien d’agir différemment, le résultat sera différent. Donc plutôt que de penser “Et si”, commencez à penser “la prochaine fois“. Plutôt que de vivre dans le passé, vous ouvrirez une fenêtre sur l’avenir. Là où vous pouvez encore changer les choses. Cela fera une énorme différence dans votre vie. Pour conclure Être heureux est un cheminement personnel qui passe par la prise de conscience d’un fait le bonheur dépend de nous. Pour l’atteindre, nous devons nous détacher de tout ce qui nous éloigne de cet état d’esprit. Cette quête est semée d’embuches et de difficulté, pourtant elle mérite toute notre attention dans notre monde moderne. Chaque pas que vous ferez sur le chemin du bonheur illuminera votre vie, alors ne perdez pas de temps et lancez-vous dès aujourd’hui ! Voici également un autre article en lien avec celui-ci, qui vous sera tout aussi profitable 10 moyens infaillibles d’être malheureux. Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager avec votre entourage ! NB Retrouvez le manifeste de cette article, en cliquant sur l’image ci-dessous ! Vous avez apprécié l'article ? Notez-le ! Noté pour 55 votes Nous sommes désolé que cet article ne vous ait pas plu ! Comment pouvons-nous l'améliorer ? Merci pour votre retour ! The following two tabs change content articles Jeune hypnothérapeute passionné de développement personnel, je vogue sur le web pour vous transmettre les meilleures méthodes pour changer de vie. Visez l'excellence, et renouez aujourd'hui avec votre fabuleux potentiel ! Votre commentaire peut ne pas être affiché immédiatement, il pourra alors être publié après validation par l'administrateur.
Tous les hommes cherchent à être heureux et la recherche du bonheur est devenue l’une de leur principale préoccupation. Être heureux est un état moral et peut être interprété de plusieurs façons. Cela peut se manifester par le bonheur, le bien-être ou la satisfaction, qui est plus ou moins durable. Le plaisir quant à lui est un phénomène éphémère. Le fait d être heureux provoque toujours une certaine forme de bonheur. Bien que le bonheur reste un co le plus haut, c’est-à-dire le s bonheur signifie ce qui tombe bien » hommes, donc il p g ci représente le bien iquement, le rôlé par les peut y avoir une part de chance dans le bonheur. En effet, l’homme est impuissant face aux hasards de la vie. La santé, l’amour semblent être des domaines qu’il ne pourra pas toujours maîtriser. Or, celui-ci peut décider de son état d’esprit par rapport à ces événements. Dans ce cas, il aura le contrôle sur son bonheur. Dépend-il de nous d’être heureux ? Peut-on faire son bonheur soi-même ? Avons-nous une part de responsabilité dans le fait dêtre heureux ? Sommes-nous condamner à subir les autres ? Comment désirs. Ensuite, nous montrerons que le bonheur dépend des onditions extérieures et que l’homme ne peut l’atteindre que par le hasard. Et pour terminer, nous verrons comment l’homme se situe dans recherche du bonheur. Il est impossible d’être heureux et d’atteindre l’homéostasie sans vouloir. Cest la thèse d’Épictète. Je suis maître de ma pensée et de mes états mentaux h. Il n’y a que les conditions extérieures qui ne dépendent pas de moi. Ce qui nous procure du bonheur sont les choses qui de nous. C’est pour cela que les éléments extérieurs qui nous arrivent ne doivent pas prendre le dessus sur nous. Lhomme peut tout à fait ccepter le fait qu’il pleuve durant plusieurs jours, sans être déranger par cela. Tout dépendra de son état d’esprit. Pour les Stoïciens, le plaisir ne peut pas atteindre un équilibre parfait il faut devenir indifférent aux extérieures. On croit que les obstacles au bonheur sont extérieurs, mais en réalité, ils sont plutôt intérieurs. Si nous vivons des situations que nous n’avons pas choisies, nous sommes cependant toujours libres de décider ce que nous en faisons. L’homme reste libre d’essayer de les transformer et d’agir sur la réalité sans se contenter de la subir. Llhomme doit se détacher des conditions extérieures ureux. Il ne dépend que 2 l’homme de changer de vision des choses. pour Alain, le fait d’être heureux dépend de la propre volonté de l’homme. ?tre pessimiste est la voix la plus simple, il suffit de se laisser aller. Si on s’en tient à cela, on a toutes les raisons pour y être. Or, il ne tient que de notre volonté d’être optimiste. Les hommes ont souvent tendance à attendre le bonheur. Celui-ci à faire. Le seul vrai bonheur est celui que nous faisons. Un durable ne s’obtient que si l’individu agit de manière volontaire. De ce fait, l en découle que le fait d’être optimiste facilitera la tâche pour bonheur soit durable. L’homme à l’état naturel trouvait son bonheur dans la nature. Cependant, il dépend de lui de vivre en société. Kant définit cela comme un besoin dont l’homme ne peut se passer. Chomme raisonnable veut vivre avec ses semblables, cela représente un besoin affectif. Il accepte donc de s’intégrer socialement, sans cela, il ne pourrait pas se sentir heureux. On peut relier cela avec une citation de Brillat Savarin qui montre que plasir de l’homme pour se trouver avec autrui grâce au fait de partager un epas entre amis. Pour être heureux, l’homme va chercher à combler ses désirs. II dépendra donc que de lui de laisser libre cours à tous ses désirs. Cependant, les canaliser lui rocurera de la frustration. Se connaitre est fondame heureux, cela va 3 Se connaître est fondamental pour être heureux, cela va permettre de canaliser nos désirs. Car avoir des ambitions inappropriées » ? ce dont on est capable peut devenir source de souffrance. pour Spinoza, certaines modifications provenant de l’extérieur peuvent nous toucher de l’intérieur et augmenter ou diminuer notre puissance. Ce qui augmente notre puissance a un impact positif sur ce que nous sommes. En revanche, tout ce qui diminue notre puissance tendrait ? avoir un impact négatif. Or, si on se tient à la thèse stoïcienne de Spinoza, il faut sans hésiter s’en tenir qu’aux aspects positifs. Or, contrairement à ce qu’on avait démontré précédemment, il semblerait que chercher le bonheur ne suffise pas à le trouver. C’est le bonheur qui nous trouve et non pas nous qui le trouvons. e bonheur est un concept indéterminé. Lhomme est incapable de savoir ce qui le rend heureux avec une entière certitude. Aucun homme e sait ce qu’il cherche quand il cherche le bonheur. Le bonheur est un idéal, une utopie provenant de l’imagination et non de la raison de l’homme. apparait comme lié au hasard et est devenu un besoin obsessionnel. Être heureux est le fait de ne manquer de rien. Cela apparaît invraisemblable et impossible à atteindre. Lorsqu’on satisfait nos désirs, on obtient du plaisir. Cependant cela est ponctuel et ne suffit pas ? constituer 4 ponctuel et ne suffit pas à constituer un bonheur durable et ne permet pas d’atteindre le souverain bien. Là aussi, il ne dépend pas de nous d’être heureux. Pour Freud, le bonheur relève de l’inconscient. Les désirs ne suffisent pas à combler cela, on n’en a aucune maîtrise. Si on considère cela pour vrai, alors il n’est pas en notre pouvoir d’être heureux. Vouloir faire dépendre de nous le fait d’être heureux peut avoir des conséquences contraires à ce qui était espéré, allant à l’encontre de notre raison et de notre volonté. Si pour être heureux, on ne peut compter sur notre raison, alors cela relève-t-il de la chance ? Si on prend l’étymologie de bonheur il en ressort le fait qu’il soit lié au hasard, à la chance. Bonheur signifie ? bonne fortune », d’où l’expression contre bonne fortune, bon cœur Personne ne choisit la famille ou le milieu social où il naît. Certaines situations semblent plus favorables que d’autres pour devenir heureux. Il semblerait que naître dans une famille et un milieu social aisés est plus propice au bonheur de l’individu. Donc, il s’avérerait vrai que le bonheur et la chance soient en lien. De ce fait, on peut considérer que l’homme heureux ne le serait jamais que par la chance. Pour Aristote, le bonheur se trouve essentiellement dans la vertu, dans l’exercice de certaine ne semble donc pas S
depend il de nous d être heureux